LE LIVRE DES AFRO-GENÈSE

À L’ÉCOUTE DE NOS PRIÈRES

Quand je prie – je ne m’adresse pas à un Dieu lointain – Qui peut m’apporter la réponse par l’attention de son écoute et la bonté de sa compassion.
Au grand jamais – quand je prie – je m’adresse à moi-même
À la voix ultime et intérieure qui fait écho aux multiples cris de mon cœur.

Mes prières sont des rappels à moi-même
Pour me garder éveillées à la lumière de ma conscience – Celle purgée dans l’opacité généreuse des ténèbres.
Il n’y a pas d’obligation à me mettre en supplication devant un vide lointain et mystérieux – ni de plier l’échine – de supplier
des imageries et supercheries qui rendra idolâtre.

Je suis la réplique – le prototype de synthèse de l’univers. De tout ce qu’il possède – qui se résume en moi en multiples Marassa – Qui sont des énergies – des esprits de circonstance et d’action immédiate qui vibrent.

Grâce à l’Ibo-thérapie – la perception de l’écoute de soi – nous ouvre en Legba – en Atibon – une porte d’entrée en nous-mêmes
Pour s’asseoir et dialoguer avec les phénoménaux qui s’activent positivement
Divinement en nous.

Parler à Dieu – c’est parler à nous-mêmes
De manière rassurante pour entendre la voix de l’univers – Celle qui nous parle – qui échange avec nous dans le respect et l’harmonie – Selon le calme ou la turbulence du temps.

Nul besoin de courir derrière un Dieu pour se faire juger – mépriser et condamner dans la volonté justiciable de nous faire mal
Le plus mal pour justifier sa puissance.

En vérité la conscience de l’amour qui brûle en nous – doit suffire pour nous rappeler à l’ordre au besoin et surtout de nous servir d’axe équilibre.

Là où il y a chantage et menace – on ne peut entendre la voix de Dieu ni trouver sa consolation – cause de l’exagération et la violence dogmatique des gens du Markétings.
La Nature est notre Jardin accueillant – qui nous ouvre les champs créateurs de notre imaginaire et de jouissance à décorer notre bonheur. Ayibobo!
12 mars 2025.